Week-end des frac

Caen – Week-end des frac les 17 et 18 avril 2021. Le Frac Normandie Caen investit l’espace public et propose des rendez-vous avec des artistes en ligne et sur les ondes radio :
Exposition Vole au Vent *
Édition originale de 23 oriflammes conçues par des artistes issus de la collection du Frac Normandie Caen exposées dans la Ville : avenue Albert Sorel, place Fontette et au niveau du port de plaisance. Jusqu’au 6 mai 2021

Exposition Photomatou *
L’œuvre « Photomatou » de l’artiste Alain Séchas composée de 14 affiches de têtes de chat dans les mobiliers urbains dans la ville. Jusqu’au 27 avril.

Arrêt sur œuvre
 : Visite subjective de l’exposition « Un été indien » confiée à l’artiste Romain Lepage qui a invité le groupe Beach Youth pour un regard décalé et musical sur l’exposition. Samedi 17 avril 2021 après-midi*. Diffusion de la visite en vidéo sur le site et sur les comptes Facebook, Instagram et Vimeo du Frac Normandie Caen
 
Ma vie d’artiste.

Émission radio avec les artistes Malala Andrialavidrazana, Zoé de Soumagnat et Stéphane Vigny animée par Frédéric Suard. Dimanche 18 avril. Diffusion de l’émission en podcast sur le compte Soundcloud du Frac Normandie Caen et radio-diffusée à 20h sur la radio 666 (99.1FM)

Sotteville-lès-Rouen Week-end des frac les 17 et 18 avril. Le Frac Normandie Rouen propose une rencontre en ligne avec la romancière, Marie Nimier. Samedi 17 avril à 15h.
En direct sur vos écrans, Marie Nimier est au sein de l’exposition, Deux scénarios pour une collection au Frac pour nous délivrer des textes choisis en regard du travail vidéo d’Estefanía Peñafiel Loaiza , De l’incertitude qui vient des rêves (2017). Ses mots, sa voix, s’immisceront dans notre imaginaire tandis que nos yeux goûteront le plaisir des images, les interprétations seront plurielles… Cette expérience est suivie d’un échange entre les deux artistes, la romancière et la vidéaste.

Intervention de l’artiste sur le bâtiment extérieur du Frac. L’artiste, Julien Lelièvre, très actif sur le territoire normand, est invité à intervenir sur le bâtiment du Frac. Son oeuvre photographique porte une attention bienveillante à l’architecture banale et aux paysages modestes du quotidien périurbain. Si l’homme est souvent absent du décor, les traces de ses actions sont, elles, omniprésentes, dérisoires et involontairement belles.