Le 17 avril 1524, Giovanni da Verrazzano (1485-1528) est le premier européen à découvrir la baie de New York. C’est pour le compte de François Ier, désireux de trouver un passage vers les Indes, que Giovanni da Verrazzano assure cette expédition. Dès les premières années de son existence, Le Havre devient une base de départ des voyages d’exploration. L’un des deux navires, La Dauphine, est armé au Havre en juin 1523. Le cap Fear, situé dans l’actuelle Caroline du Nord, aux États-Unis, est atteint en mars 1524. En longeant les côtes vers le nord dans l’espoir d’atteindre la Chine, Giovanni da Verrazzano découvre l’actuel port de New York, baptisé « Nouvelle Angoulême » en l’honneur de la famille de François Ier.
N.B. : Le musée est actuellement fermé pour travaux mais des panneaux affichés sur les grilles en extérieur de l'édifice racontent cette épopée.
Les illustrations et publicités du Trouville d’antan. L’essor touristique a permis à Trouville-sur-Mer de bénéficier d’une belle identité visuelle célébrant aussi bien son art de vivre que son architecture et bien sûr sa plage, sans oublier la piscine. C’est aussi grâce à sa proximité avec Paris et le développement des voies de chemins de fer que l’affiche a connu ses heures de gloire.
Cette collection d’affiches anciennes invite à voyager dans l’histoire de la station balnéaire qui célèbre cette année ses 200 ans !
L'exposition est accessible du lundi au vendredi de 9h30 à 12h et de 13h30 à 17h. 
Michaël Cailloux présente un drôle de bestiaire peuplé de fleurs et de motifs végétaux. Une exposition luxuriante de l’artiste qui puise son inspiration dans la nature. Influencé par le naturalisme de l’Art nouveau et par les natures mortes du XVIIe il offre au public une visite colorée où l’imaginaire prend le pouvoir. La série « Le Pouvoir des Fleurs » inspirée par son livre « Le ventre de Joseph » mêle des toiles et des sculptures pour ouvrir les portes d’un incroyable jardin ; puis le voyage « Entre Terre et Mer » fait se rencontrer le végétal et le monde marin pour une plongée extraordinaire auprès de créatures aquatiques.
Une visite fantastique et poétique à voir du mercredi au samedi 14h30-18h.
Et du mercredi au dimanche de 14h30 à 18h durant les vacances scolaires. Visuel d'illustration : ©Rodolphe Baras. 
L’œuvre « Les Glaçons » (huile sur toile, 1880) de Claude Monet fait une escale à Vernon avec l’exposition "100 œuvres racontent le climat". Outre cette toile exceptionnelle le musée héberge une importante collection de paysages du Val de Seine et des grands sites naturels de Normandie, signés par les artistes de la famille Hoschedé-Monet-Butler et les artistes américains et étrangers de la colonie de Giverny. Il possède également une collection unique d’art animalier, bénéficiant de dépôts prestigieux du musée du Louvre et d’Orsay. Des œuvres de Rembrandt Bugatti, Théophile-Alexandre Steinlen, Paul Jouve et François Pompon illustrent une histoire artistique et scientifique de la conservation du patrimoine naturel depuis l’ère industrielle. Le musée invite aussi régulièrement des artistes contemporains à dialoguer avec les collections patrimoniales orientées vers les représentations de la nature. 
Akseli Gallen-Kallela (1865-1931) est l’un des grands peintres finlandais de la fin du XIXe siècle. Il est engagé artistiquement dans le mouvement de revendication nationaliste de la Finlande face à l’Empire russe qui l’occupe alors. L’artiste a illustré de nombreux thèmes issus du folklore finlandais, ainsi que les paysages nationaux, porteurs de l’identité finlandaise.
L’œuvre prêtée par le musée d’Orsay, peinte en 1894, s’intitule "Palokärki ; le Grand Pic noir". Acquise par Orsay en 2020, c’est le premier chef-d’œuvre de l’artiste à rejoindre les collections françaises. Cette toile fait partie de l’exposition itinérante « 100 œuvres qui racontent le climat », initiative du Musée d'Orsay qui fait circuler des peintures dans 31 musées français. La toile est mise en dialogue avec d’autres pièces issues des collections des musées municipaux qui évoquent la question climatique. Un cycle de conférences et des animations sont aussi au programme.
Visuel : Akseli Gallen-Kallela, "Palokärki ; le...
La première exposition, « Dans les pas de Camille et un peu plus loin… », est signée de trois photographes bien connus du territoire : Christophe Aubert, David Commenchal et Jean-Léo Dugast. Une trentaine de leurs œuvres sont exposées au Manoir de Courboyer.
La seconde exposition, intitulée « Entre patrimoine bâti et nature », prend place au sein de la salle d’exposition de la Maison du Parc. Patrick Courtin présente une trentaine d’aquarelles. 
L’exposition est consacrée à la production dentellière à l'aiguille française de la seconde moitié du XVIIe siècle. Pour tout savoir sur la dentelle et découvrir comment elle est devenue une affaire d'état !Elle valorise les fonds anciens du musée ainsi que des pièces récemment entrées dans les collections et présentées pour la première fois au public. Des prêts de collectionneurs privés, des Archives départementales de l'Orne, de la Ville d'Argentan, du Château-Musée Louis Philippe d'Eu, du Haras national du Pin et du Mobilier national complètent l’offre.
N.B. : le Musée est fermé le lundi et le 1er mai. Ouvert tous les jours en juillet et août. 
Karen Knorr invite a explorer des récits où l’imaginaire et la réalité se confondent. Avec un regard unique, la photographe fusionne des éléments narratifs, historiques et symboliques pour créer des oeuvres qui questionnent notre relation au monde. Le parcours de l’exposition dévoile une sélection de ses photographies les plus récentes. Karen Knorr tisse des scènes où l’architecture et les animaux se rencontrent dans des compositions poétiques. La série "India song" capture l’âme vibrante de l’Inde entre rites ancestraux et héritages modernes. Dans "Fables", l’artiste se joue des codes de bienséance de prestigieux lieux français. Et dans "Scavi" elle nous mène dans les vestiges de Pompéi et Monogatari et nous plonge dans l'univers onirique des contes japonais.
Visuel d'illustration : The Lovesick Prince, © Karen Knorr - Courtesy Galerie Les filles du calvaire, Paris. 
Quatre artistes sont les invités de cette exposition qui lance la saison culturelle 2025 du jardin botanique. Ils investissent le Pavillon XVIIe avec leurs oeuvres : Jérôme Le Goff et ses toiles bucoliques qui évoquent des compositions florales ou l’art des jardiniers. Sylvie Bézard est une créatrice spécialisée dans le papier et le carton. Frédéric Tran présente une série de clichés photographiques. Et Horacio Cassinelli mêle à ses peintures du collage ou du dessin numérique et cultive l’art du détournement. L'exposition est visible du jeudi au dimanche de 14h à 18h. 
La féminité vue par des artistes. Le corps et sa représentation au féminin pour en célébrer la diversité. Tendresse, douceur et violence se côtoient au fil de la visite.Les créateurs s’expriment avec de nombreuses œuvres en céramique, en verre ou encore en métal. Toutes les pièces sont issues de diverses techniques : émaux sur cuivre, kintsugi, modelage, verre au chalumeau, assemblages de matériaux… Les artistes, tous des professionnels des métiers d’art, présentent 45 œuvres originales au total et celles-ci sont également proposées à la vente. Le lieu est ouvert le mardi (14h-18h) puis du mercredi au dimanche de 10h-18h.