Deauville me va comme un gant

Kees Van Dongen, figure du fauvisme. Cet accrochage présente soixante œuvres accompagnées de nombreux documents qui attestent du regard incomparable et terriblement affûté porté par le peintre sur la société française des Années folles aux années 60 et sur la vie Deauvillaise en particulier. L’exposition offre un éclairage inédit sur l’évolution de l’œuvre à partir de 1913. Elle se décompose en plusieurs parties dans la Cour des Expositions : La Normandie, Deauville et sa plage, le cheval, l’Orient, le monde du spectacle, la garçonne ou femme libérée, les grands portraits… Autour de l’exposition : Vernissage le samedi 2.7 à 10h30. Conférence le dimanche 3.7 à 16h30. Lecture le mardi 19.7 à 17h. Et Le Bal Blanc Van Dongen, le vendredi 26 août avec les Nuits Normandie Impressionniste (payant).