Chineuse et glaneuse, Marie-France Dubromel déambule avec son baluchon rempli de menus, d’objets de rebut, de chiffons, de bouts de fil, de boutons trouvés, de papiers froissés ou déchirés, d’images, d’histoires, de livres, d’écritures, de photographies et de reliques diverses…Tel un colporteur, elle présente ses cabinets de curiosité personnels, sous la forme d’inventaires du dérisoire et de l’oubli, d’accumulations ou d’installations.