Émilie Breux vient déloger la peinture classique de son piédestal, jouant largement sur la notion de citation et de détournement des figures canoniques de l’histoire de l’art. La mine absurde, une nature morte nous accueille. Un tronc au sol, coupé en deux, nous regarde. Les œuvres, dans l’espace et le temps, témoins de l’histoire, deviennent de grands protagonistes du vivant. Ce travail se veut anthropomorphique; l’œuvre devient un repère ancré dans le réel et peut ainsi devenir passeur pour un monde imaginaire.
L’Atelier Bell’Art est ouvert du mercredi au vendredi de 14h à 18h.
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